10 plus grands problèmes environnementaux au Canada

L’environnement est un sujet brûlant et majeur dans le monde entier. Cela s’explique essentiellement par le rôle majeur que joue l’environnement dans l’existence des êtres vivants et non vivants. Les problèmes environnementaux au Canada ne sont pas propres au pays mais à la planète dans son ensemble.

Problèmes environnementaux ont été identifiés comme étant parmi les problèmes les plus importants et les plus significatifs auxquels notre monde est confronté aujourd'hui. Avec cette notion, nous ferons un rapide tour d'horizon des plus grands problèmes environnementaux au Canada, car il existe d'autres problèmes environnementaux qui peuvent être considérés comme des problèmes environnementaux mineurs.

Le Canada en tant que nation se définit en grande partie par sa taille et est connu comme le deuxième plus grand pays au monde avec une vaste population. Les statistiques montrent qu'environ 75 pour cent des Canadiens vivent à moins de 100 milles des États-Unis d'Amérique. Autour des villes du sud de l'Ontario et à l'extérieur, où la population canadienne est également fortement concentrée,

Le Canada a une superficie de 9,970,610 7 XNUMX kilomètres carrés. Étant un grand pays, le Canada possède un large éventail d’écosystèmes. Les lacs et rivières couvrent XNUMX% du pays. La partie sud du Canada est tempérée et les régions du nord sont subarctiques et arctiques.

Dans l'extrême nord du Canada, seulement 12 % des terres sont propices à l'agriculture en raison du climat rigoureux, ce qui fait que la majeure partie de la population canadienne vit à quelques centaines de kilomètres de la frontière sud.

L'économie de marché du Canada ressemble beaucoup à celle de son voisin du sud, les États-Unis. Certaines des plus grandes industries du Canada impliquent l'extraction de ressources naturelles, y compris le pétrole, le gaz et l’uranium. L’environnement est donc dans une large mesure affecté par ces activités.

En tant que deuxième plus grand pays au monde (d'un point de vue géographique), le Canada est de plus en plus conscient des effets des activités sur l'environnement, allant du réchauffement climatique aux changements dans les conditions météorologiques, à la déforestation, au changement climatique et à de nombreux autres problèmes. dans le pays. Cet article porte sur certains des plus grands problèmes environnementaux qui touchent le Canada aujourd'hui.

Enjeux environnementaux au Canada

10 plus grands problèmes environnementaux au Canada

La hausse des températures, la pollution atmosphérique, la fonte des glaciers, la pollution par les sels de voirie, etc. comptent parmi les principales menaces environnementales qui pèsent actuellement sur le Canada. Voici quelques-uns des plus importants d’entre eux, comme indiqué ci-dessous.

  • La déforestation
  • La fonte des calottes glaciaires et du pergélisol
  • Pollution minière
  • Feux de forêt
  • Changement climatique
  • Pollution de l'air
  • Perte d'écosystèmes et d'espèces menacées
  • Pollution par le sel de voirie
  • Augmentation continue des températures
  • Pollution des sables bitumineux

1. La déforestation

La déforestation au Canada est parmi les plus faibles au monde, selon les statistiques gouvernementales du pays, avec un taux de déforestation annuel en baisse constante au cours des 25 dernières années, et les efforts du pays pour développer une gestion durable des forêts sont salués dans le monde entier. Cependant, même s’il s’agit d’une bonne nouvelle, la perte de forêts reste un problème urgent.

Les arbres et les forêts sont des puits de carbone naturels. Ils éliminent de l’air les produits chimiques nocifs comme le dioxyde de carbone.

Les forêts boréales du Canada jouent un rôle crucial dans la régulation du climat mondial empreinte carbone car elles stockent deux fois plus de carbone que les forêts tropicales, soit près de 27 ans d'émissions mondiales de carbone provenant de combustibles fossiles consommation.

Déforestation au Canada

Les trois principales régions du Canada étaient responsables de 50 % de toute la perte de couverture arborée entre 2001 et 2021. La Colombie-Britannique a enregistré la plus grande perte de couverture arborée, soit 8.59 millions d'hectares (21.2 millions d'acres), comparativement à une moyenne de 3.59 millions d'hectares (8.9 millions d'acres).

L'exploitation forestière dans la forêt boréale canadienne est un problème énorme et entraîne 26 millions de tonnes métriques d'émissions de carbone non comptabilisées associées aux émissions du sol et à la perte de capacité de séquestration.

Une étude de 2019 suggère que les taux de déforestation en Ontario sont près de cinquante fois plus élevés que ceux rapportés par les responsables gouvernementaux, même si seulement 17 % de l'exploitation forestière au Canada a lieu dans la province.

Ici, environ 21,700 53,621 hectares (40,000 XNUMX acres), l'équivalent de XNUMX XNUMX terrains de football, sont perdus chaque année en Ontario à cause des routes et des débarquements imposés par l'exploitation forestière dans la forêt boréale, créant ainsi une perte des écosystèmes riches et diversifiés de cette région.

La végétation près des rivières et des ruisseaux (riverain) aide à maintenir l’équilibre de l’eau et abrite des espèces importantes dont dépendent les créatures apex.

Au cours des trois dernières décennies, une superficie totale de 650,000 10 hectares, soit près de XNUMX fois la taille de Toronto, la capitale de la province, a été perdue à cause de cette infrastructure forestière.

2. La fonte des calottes glaciaires et du pergélisol

La fonte des glaciers du Canada

Le Service des glaces d'Environnement Canada surveille de près la glace de mer de l'Arctique au moyen de satellites et de stations de recherche distantes. Les dix dernières années ont été marquées par des pertes record de la quantité de glace de mer présente, ainsi que par des changements croissants dans la composition de cette glace.

Ce qu'on appelle parfois le « grand dégel » a vu le nombre de glaciers chuter de plus de cent cinquante à moins de trente au cours des cent dernières années.

De plus, les glaciers restants rétrécissent rapidement à mesure que la température de l’eau environnante augmente. De même, le pergélisol, qui représente pour le Canada une grande partie de ses territoires nordiques, est en train de fondre.

Cette fonte des glaces dans le nord du Canada et dans l'Arctique signifie que le niveau de l'eau dans l'océan augmente considérablement et que la température globale augmente.

C’est pour cette raison que la fonte des calottes glaciaires et le dégel du pergélisol sont considérés comme l’un des problèmes environnementaux les plus alarmants auxquels sont confrontés le Canada et le monde en général. Cela entraîne non seulement une perte d’habitat pour les animaux arctiques, mais a également un impact sur toute la vie océanique.

3. Pollution minière

L'un des principaux problèmes environnementaux auxquels est confronté le Canada est l'exploitation minière, qui contribue grandement aux secteurs économiques du pays et est un important créateur d'emplois, employant environ 700,000 XNUMX personnes par an.

Le Canada est connu comme l'un des cinq principaux producteurs mondiaux de quatorze substances extraites, dont des pierres précieuses, de l'indium, de la potasse, du platine, de l'uranium et de l'or. Le Canada abrite également environ 5 % des sociétés minières. L'exploitation minière a ajouté 75 milliards de dollars au PIB du Canada, représentant 107 % du total des exportations intérieures du pays en 21.

Cependant, l’exploitation minière a des conséquences néfastes et dévastatrices sur l’environnement et est associée à la perte de forêts, à la contamination des ressources en eau douce ainsi qu’à l’appauvrissement et au déplacement des communautés.

Zone polluée par les mines

Selon MiningWatch, une organisation non gouvernementale basée à Ottawa, en Ontario, l'exploitation minière au Canada génère plus de 30 fois les volumes de déchets solides que tous les citoyens, municipalités et industries produisent chaque année.

Entre 2008 et 2017, les pertes de déchets miniers dans le pays ont tué plus de 340 personnes, pollué des centaines de kilomètres de cours d’eau, anéanti nos populations de poissons et mis en péril les moyens de subsistance de communautés entières.

La contamination des plans d'eau par les bassins de décantation et les ruptures de barrages a également été observée comme un effet majeur de l'exploitation minière sur l'environnement. Le processus de drainage rocheux acide est le processus par lequel la roche concassée réagit avec l'air et l'eau pour produire des acides qui peuvent lessiver les métaux lourds de la roche et contaminer l'eau.

Ce processus reste un problème persistant dans et autour des sites miniers, pouvant durer des milliers d’années. En 2014, la rupture du barrage de résidus du mont Polley a attiré l’attention du monde entier en raison de l’ampleur de la catastrophe.

En 2019, l'ancienne commissaire à l'environnement et au développement durable Julie Gelfand accusait l'industrie minière de manque de transparence à la suite d'un audit gouvernemental.

En effet, le département n'a pu effectuer que les deux tiers de ses inspections prévues pour les opérations non métalliques, car il ne disposait pas d'informations adéquates pour toutes les mines de métaux du pays.

4. Feux de forêt

Selon la base de données forestières nationales, plus de 8,000 2.1 incendies se produisent chaque année au Canada et brûlent en moyenne plus de XNUMX millions d'hectares. Cela est dû au temps chaud et sec, un effet du réchauffement climatique, qui rend la forêt plus vulnérable aux incendies de forêt.

Les incendies de forêt entraînent la destruction des habitats et une réduction de à la perte de biodiversité, les dommages causés aux arbres généralement résistants aux incendies, le déplacement d'animaux et la fonte plus rapide du pergélisol boréal, associée à la libération d'un puissant gaz réchauffant la planète appelé méthane.

Par ailleurs, les incendies ont également des répercussions humaines et économiques dévastatrices, outre leurs impacts sur la faune et les espèces végétales. Au cours de l'été 2014, plus de 150 incendies distincts ont éclaté dans les Territoires du Nord-Ouest, une superficie d'environ 442 milles carrés (580 kilomètres carrés) dans le nord du Canada. Treize d’entre eux auraient été causés par l’homme.

La fumée qu'ils ont générée a déclenché des avertissements sur la qualité de l'air dans tout le pays ainsi qu'aux États-Unis, la fumée étant visible jusqu'au Portugal en Europe occidentale. Au total, près de 3.5 millions d'hectares (8.5 millions d'acres) de forêt ont été détruits et les opérations des pompiers ont coûté au gouvernement la somme faramineuse de 44.4 millions de dollars.

En 2016, un incendie de forêt dévastateur a ravagé Fort McMurray, en Alberta, rasant près de 600,000 2,400 hectares de terres, détruisant environ 80,000 2017 maisons et bâtiments et forçant plus de 2018 XNUMX personnes à évacuer. En Colombie-Britannique, les incendies de forêt ont provoqué un état d'urgence à l'échelle de la province en XNUMX et XNUMX.

5. Changement climatique

Le changement climatique est une question environnementale majeure qui ne restera inévitablement pas sans être discutée. Bien que certains puissent prétendre le contraire, les données scientifiques indiquent clairement que la température moyenne mondiale augmente et que le climat général a connu des changements importants, tant au Canada qu'à l'échelle mondiale.

Cependant, au Canada comme partout dans le monde, des mesures sont prises autant que possible pour freiner les changements climatiques et leurs conséquences négatives sur l'environnement.

Environnement Canada, le groupe exclusif qui étudie le changement climatique à l'échelle nationale, cible une variété de domaines de recherche et de prévention, depuis les conditions météorologiques jusqu'à l'analyse de l'eau et de la glace, en passant par les changements de températures localisés, la qualité de l'air et les facteurs de risque globaux.

Tout ce qui relève de l'analyse climatique est étudié au plus haut niveau pour mieux comprendre l'impact de l'homme sur l'environnement et ainsi commencer à atténuer les dégâts.

6. Pollution atmosphérique

Émissions dans l’industrie canadienne des raffineries de pétrole.

L'un des domaines dans lesquels le Canada a pris des mesures spécifiques est la pollution atmosphérique. Pollution de l'air est un enjeu environnemental majeur au Canada en raison de la présence d'entreprises de raffinage de pétrole qui rejettent des polluants dans l'atmosphère au cours de leurs procédés.

Ces polluants, qui comprennent l'ozone, le méthane, l'oxyde nitreux et le carbone noir, contribuent à bon nombre des principaux problèmes environnementaux au Canada et dans le monde.

Malheureusement, le Canada affichait certains des niveaux d'émissions les plus élevés avant 2010. Depuis lors, le Canada s'intéresse vivement à cette question et est membre fondateur de la Coalition pour le climat et l'air pur, dans l'espoir d'atténuer certains des dégâts déjà causés. et prévenir d’autres impacts importants sur la qualité de l’air à l’échelle mondiale et nationale.

Environnement Canada a désigné la pollution atmosphérique comme une préoccupation majeure car elle affecte la faune, la végétation, le sol et l'eau. L'agence gouvernementale a déclaré que la pollution de l'air provenant des zones urbaines provoque des pluies acides et contribue au changement climatique.

Les polluants climatiques à courte durée de vie suscitent un intérêt particulier, car leur réduction peut entraîner des changements positifs plus immédiats. À cet effet, les tendances des émissions au Canada suivent les données sur les émissions et prévoient les domaines de préoccupation potentiels.

7. Perte d'écosystèmes et d'espèces menacées

À mesure que les écosystèmes continuent de diminuer, le nombre d’espèces menacées continue d’augmenter. Tous ces effets résultent de la déforestation, qui détruit les habitats.

Les espèces et l'écosystème sont continuellement affectés en raison de tous les problèmes environnementaux. Lorsqu’un habitat disparaît, les espèces qui y vivent disparaissent également.

D’autres peuvent trouver un nouveau logement alors que cela n’est peut-être pas possible avec d’autres. Apporter un soutien total aux organisations canadiennes vouées à lutter contre l’extinction des espèces est l’un des moyens les plus efficaces de sauver les espèces.

8. Pollution par le sel de voirie

La pollution par le sel de voirie est un problème environnemental qui n'est pas propre au Canada, mais il est beaucoup plus répandu dans de nombreux autres pays. Cela est dû aux conditions hivernales rigoureuses.  

Le sel de déneigement, ou chlorure de sodium, est largement utilisé pour faire fondre la glace sur les routes et empêcher l'accumulation de neige pour les conducteurs. Une grande partie du Canada connaît des hivers longs et ardents, où les chutes de neige et les conditions de gel sont courantes.

Pour cette raison, le sel de déneigement est utilisé pendant une grande partie de l’année. Même si le sel fait un excellent travail en faisant fondre la glace afin de réduire les risques de conduite et d'améliorer la traction routière, il est intrinsèquement nocif pour l'environnement.

Les autoroutes et le ruissellement des rues entraînent le lessivage de ce sel dans le sol, augmentant ainsi les niveaux de chlorure entre 100 et 4,000 XNUMX fois ceux des niveaux locaux normaux.

Le sel tue la plupart des êtres vivants et peut empêcher la croissance des plantes dans de nombreuses cultures du sol. Ce changement dans la structure du sol affecte également divers micro-organismes et, par conséquent, la faune de la région.

Même si certaines régions ont abandonné les produits à base de chlorure de sodium au profit d'un sable ressemblant davantage à du sable, le sel continue de constituer un problème environnemental persistant pendant les hivers canadiens.

9. Augmentation continue des températures

La hausse des températures est l’un des problèmes environnementaux les plus évidents apparus au cours des dix ou vingt dernières années. L’augmentation globale de la température mondiale constitue l’un des problèmes environnementaux les plus alarmants auxquels sont confrontés le Canada et le monde en général.

La température moyenne au Canada augmente presque deux fois plus vite que la température mondiale. Ces augmentations de température sont principalement dues aux gaz à effet de serre, ainsi nommés parce qu’ils créent une sorte de barrière dans l’atmosphère, emprisonnant la chaleur.

Entre 1948 et 2014, la température moyenne sur la masse terrestre du Canada a augmenté de 1.6 degrés Celsius. C'est deux fois la moyenne mondiale, ce qui signifie que les températures au Canada augmentent à un rythme beaucoup plus rapide que dans tout autre pays jamais enregistré.

Il a été prévu que les températures moyennes au Canada augmenteront de 2.0 degrés Celsius à 9.5 degrés Celsius au cours du siècle en cours si le niveau d'émissions n'est pas réduit. Cela contraste avec la moyenne mondiale, qui devrait augmenter de 5.6.

10. Pollution des sables bitumineux

La plus grande source d'émissions de carbone au pays est l'industrie pétrolière du Canada, selon Environnement et Changement climatique Canada. Le Canada est le quatrième pays producteur de pétrole au monde et le premier exportateur de pétrole brut vers les États-Unis, avec des raffineries de pétrole situées principalement en Alberta.

Le ministère fédéral a découvert que le pétrole et le gaz représentent le quart des émissions de gaz à effet de serre du Canada. Parmi eux, les sables bitumineux sont ceux qui émettent le plus de carbone.

Les sables bitumineux de l'Alberta (ou sables bitumineux), un mélange de sable, d'eau, d'argile et d'un type de pétrole appelé bitume, constituent le plus grand gisement de pétrole brut au monde avec environ 1.7 à 2.5 billions de barils de pétrole piégés dans le sable bitumineux complexe. mélange.

Ils constituent également la source d'émissions de gaz à effet de serre qui connaît la croissance la plus rapide du pays, libérant d'énormes quantités d'oxydes d'azote et de soufre dans l'air.

Entre 2010 et 2030, les émissions liées aux sables bitumineux devraient augmenter de 64 Mt pour atteindre environ 115 Mt, soit une augmentation de 124 % en seulement 20 ans. Selon les chiffres du gouvernement, cela ferait passer la part des émissions nationales des sables bitumineux d'environ 7 % en 2010 à environ 14 % d'ici la fin de la décennie.

L’extraction des sables bitumineux, généralement réalisée par exploitation minière « in situ » ou à ciel ouvert, libère jusqu’à trois fois plus de pollution que la production de la même quantité de brut conventionnel. Cela entraîne également une pollution de l’eau, car cela libère non seulement des polluants toxiques dans les ressources en eau douce, mais crée également des étangs géants de déchets toxiques.

Les sables bitumineux du Canada ont été construits sur des terres autrefois abritées par des communautés autochtones, couvrant une superficie plus grande que la ville de New York. En 2014, Stéphane McLachlan, scientifique environnemental à l'Université du Manitoba, a publié un rapport révélant des quantités alarmantes de polluants toxiques, notamment de l'arsenic, du mercure et des hydrocarbures aromatiques polycycliques, dans la chair des orignaux, des canards et des rats musqués de la région.

Les sables bitumineux de l’Alberta sont devenus une priorité mondiale pour les militants du climat. Les écologistes le ciblent pour son processus d’extraction à forte intensité d’émissions et son utilisation destructrice des terres.

L’industrie est consciente de ces critiques et a réalisé certains progrès dans la réduction de l’intensité carbone. Son impact cumulatif continue cependant de croître.

Conclusion

En déduisant de l’ensemble des enjeux environnementaux, on peut constater que les humains sont une source majeure d’enjeux environnementaux au Canada ainsi qu’à l’échelle mondiale. De même, nos activités sont la principale raison de l’augmentation du niveau de gaz nocifs et de polluants dans l’environnement.

Cependant, le gouvernement canadien a pris ce problème au sérieux et s'efforce désormais de l'éradiquer.

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Consultant en environnement at Environnement Allez ! | + de publications

Ahamefula Ascension est consultant en immobilier, analyste de données et rédacteur de contenu. Il est le fondateur de la Fondation Hope Ablaze et diplômé en gestion de l'environnement dans l'un des prestigieux collèges du pays. Il est obsédé par la lecture, la recherche et l'écriture.

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